Promotion : sur films avec le code Aller voir

Les mauvais rêves de monsieur Antunes

À propos - Les mauvais rêves de monsieur Antunes

« J’écris sur ce qui a été perdu…  » L’œuvre d’Antonio Lobo Antunes est obsédée des souvenirs de la guerre coloniale où il s’était engagé comme médecin-militaire et et de l’exercice de la psychiatrie dans un hôpital de Lisbonne.
Ses récits, monologues intérieurs ou ressassements nocturnes, nous font partager les tourments intimes d’êtres écartelés entre le passé et le présent.

Dans un bar, la nuit, des lecteurs font entendre la singularité de cette écriture et la musique de la langue portugaise. Au gré d’une déambulation à travers Lisbonne, des personnages surgissent en dévoilant des fragments de leur vie désenchantée, comme si ils appartenaient à l’univers romanesque de l’écrivain Antonio Lobo Antunes.

Dans des salons feutrés, deux femmes partagent leur érudition. L’auteur, lui, se dérobe en affirmant : « Tout est autobiographique et rien n’est autobiographique… Je voudrais mettre toute la vie entre les couvertures d’un livre ».

Maria Pinto

" Passionnée d’art et de littérature, mon parcours universitaire se situe entre ces deux pôles, puisque j’ai été étudiante à l’université de Rouen en Lettres Modernes, à Paris VII en Arts Plastiques puis à l’école des Beaux Arts de Rouen. J’ai été amenée à faire diverses expositions pendant les dix années où j’étais exclusivement artiste plasticienne, et c’est cette pratique pluridisciplinaire qui m’a amenée vers le cinéma documentaire. J’ai exercé d’autres métiers : traductrice du Portugais et de l’Espagnol d’œuvres poétiques, de textes critiques sur des artistes pour des catalogues d’exposition, journaliste, photographe. J’ai enseigné l’histoire de l’Art et animé divers ateliers artistiques. 
Après avoir écrit et réalisé quelques courts-métrages, j’ai réalisé en 2005, mon premier film documentaire « Explication des salamandres », qui raconte les ombres du roman familial et les cicatrices de l’exil. Propos autobiographique, ce film, aux antipodes d’un réalisme stérile, permet que s’exprime, singulièrement, la vérité de chaque protagoniste (celle de mes parents et la mienne). Festivals : Guth Gafa Irlande, Doc’Ouest Bretagne ; festival du film ethnographique, Paris, Ao Norte, Viana do Castelo, Portugal

Génerique - Les mauvais rêves de monsieur Antunes

Image

Gertrude Baillot

Son

Pedro Melo

Musique Originale

Pierre Alain Bohu et Luis Krikorian

Montage

Christine Bouteiller

Mixage

Didier Cattin

Une coproduction Antoine Martin Production
et
TV Rennes 35

Avec le soutien
du Centre National de la cinématographie et de l’image animée
de la Procirep, société des producteurs
et de l’Angoa

Presse

Voir ici.

Recommandations

Donnez votre avis :

Veuillez vous connecter pour poster un commentaire.